Avant La Clairière de Mélu, j’avais une autre vie. Fanny Debiesse Assistante de Projets et de Direction Trilingue dans une grande entreprise de travaux industriels para-pétroliers. Issue d’un milieu rural aimant, chaleureux et modeste. J’ai commencé à travailler jeune à la sortie de mes études, emménagement parisien loin de mon Berry natal. Le Bébé de l’équipe qu’on m’appelait. Une grande sensibilité à fleur de peau qui me faisait être cataloguée dans les personnes colériques. Surtout au travail, dans un environnement exclusivement masculin. Une sensibilité associée à un grande empathie de l’autre et de ce qu’il vit. Bureau des pleurs et épaule réconfortante à toute heure de la journée pour mes collègues et mes proches. Le mental pour sauver la terre entière s’il le fallait. J’ai d’abord commencé par me sauver en premier, aspirée dans une spirale remise en question de ma vie après une tranche de vie de 10 ans dans cette entreprise qui m’a accueilli en sein alors que je n’étais encore qu’un “Bébé”. Après plusieurs amitiés et relations de rupture et de déception, rien n’allait plu, plus rien n’avait de sens dans mon quotidien. C’est comme ça que j’ai démarré cette quête de sens. De nouvelles rencontres marquantes, des lectures qui ont changées ma vie et m’ont appris la vérité, là d’où je viens ce n’est pas ce que je croyais, ma famille, ma fratrie, ce n’est pas l’illusion que j’entretenais, c’est plus brut et réaliste. Des cordons qui se coupent dans la colère dans un premier temps. Puis est venu le temps de l’apprentissage, de la reconnexion à moi-même, moi-m’aime, avec la pratique de la méditation, les soins énergétiques, les soins traditionnels ancestraux, qui me permettent d’accéder aux libérations émotionnelles dont j’avais vitalement besoin pour recréer la lumière salvatrice dans ma vie. De grands changements de vie se sont amorcés. Des ruptures douloureuses mais pour le meilleur. Une nuit noire de l’âme pour enfin retrouver le vrai sens de ma vie, de ma raison d’exister sur cette terre. Fin des relations toxiques, ça c’est fait. Départ d’un job et d’un environnement toxique, ça c’est fait. Déménagement d’un appartement étriqué et pas du tout à l’image de la personne que j’étais devenue, ça c’est fait. Des transformations rapides se produisent sur tous les plans de ma vie, et surtout avec les personnes qui m’entourent. J’attire ce que je vibre, du renouveau, de l’harmonie. Les libérations émotionnelles m’ont remis sur le chemin qui je suis et de ce qui est véritablement important dans ma vie.

Dans la lignée des grandes transformations de ma vie, la sortie de mon cadre conventionnelle de salariée m’a totalement affranchie des chaînes qui me restaient encore à briser. Victoire, je vais pouvoir être la personne que je suis vraiment pour aider l’autre à se libérer de ses propres chaines via la libération émotionnelle. Un long cycle de plus de quatre ans m’a permis de grandir, de vibrer plus haut, de développer mes pratiques, mes connaissances et mes capacités à me guérir et guérir les autres. La résilience au cœur de la vie, au cœur du quotidien. Travailler le muscle de la confiance versus tourner le dos à l’illusion. Mes plus grandes blessures liées à mes relations familiales, amoureuses et amicales ont été à la source de mes plus grands tourments, elles ont été mes plus grands professeurs et maîtres. Je suis reconnaissante à toutes les personnes qui m’ont fait souffrir, et celles qui ont remplis ma vie d’amour et de joie, elles ont contribué à la personne que je suis aujourd’hui avec La Clairière de Mélu. La Clairière de Mélu mon premier vecteur pour exprimer qui je suis, exprimer le cadeau que je suis au monde, pour soutenir les personnes qui sont sensibles à mon message, blessées dans leur cœur et leur corps, et qui souhaitent cheminer sur la fabuleuse route de la guérison pour être la meilleure version d’eux-même.